Dans son numéro de janvier 2009, le magazine Carrefour Savoirs fait un gros plan sur l’avenir du téléchargement illégal à quelques mois de l’adoption de la loi “création et internet” par le Parlement.
Pour évoquer les différents aspects de ce débat souvent houleux, mais toujours passionnant, le journaliste David KUHN a interrogé Richard SEFF, administrateur de la SACEM, et Alexandre NAPPEY, conseil en propriété industrielle au cabinet MEYER & Partenaires.
Des origines de la riposte graduée à l’éternelle utopie de la licence globale, en passant par le soutien affiché par les sociétés de gestion collective à la nouvelle mouture du projet de loi “HADOPI”, l’article permet de mieux comprendre les enjeux économiques et juridiques du téléchargement musical.
En savoir plus:
- Gros Plan: “Les Pirates et la loi”
(Carrefour Savoirs, n°115, janvier 2009) Le magazine Carrefour Savoirs, distribué gratuitement dans tous les magasins Carrefour, est édité à 500 000 exemplaires chaque mois.- Voir l’article du 17/10/2008: « Projet de loi “Création et Internet” vs. Parlement européen » par Alexandra Elkaïm.
2 Commentaires
Sauf que les études scientifiques, montrent que la baisse des ventes n’est pas liée au téléchargement !
Parce que mettre deux courbes en // ne montre pas scientifiquement leur liens !
Parce que la courbe de mon âge augmente, cela ne montre pas que la baisse des ventes est liée à mon âge !
http://www.numerama.com/magazine/11569-En-Bretagne-les-P2Pistes-sont-les-plus-gros-acheteurs-de-DVD.html
http://blog.lefigaro.fr/hightech/2008/12/paolo-coelho-le-piratage-augme.html
Et surtout allez voir les études présentées là :
http://fr.readwriteweb.com/2008/11/18/a-la-une/rapport-hadopi/
Bientôt siffler dans la rue sera un crime !
Les études scientifiques s’interrogent sur la corrélation entre téléchargement et baisse des ventes, notamment en raison de la concomitance indiscutable entre les deux phénomènes.
Les arguments qui ressortent des articles auxquels vous faites référence, et qui sont fort intéressants par ailleurs, relèvent plus de l’approche économique du problème.
il n’en demeure pas moins qu’en l’état actuel de la législation, certaines activités de téléchargement d’oeuvres musicales ou audiovisuelles constituent des atteintes aux monopoles des ayants-droit.